La solution de gestion appliquée au pilotage juridique des entreprises
Parmi les approches de gestion nouvellement développées par et pour les entreprises en vue d’étendre leur influence, y compris au-delà des marchés domestiques, le pilotage juridique arrive en bonne place. Celui-ci est en effet vital pour toute société qui ambitionne de conquérir de nouveaux marchés, qui plus est à l’étranger, en surfant sur la mondialisation : elle répond à ces exigences nécessaires à une internationalisation réussie. Mais le type de pilotage juridique à mettre en place dépend également de la structure de l’entreprise.
L’internationalisation et ses contraintes
L’expansion internationale est un Graal pour toute entreprise ambitieuse ; mais elle s’accompagne de nombre de contraintes, parmi lesquelles la multiplication inévitable des postes de direction au gré des filiales et des succursales, et de la dispersion des actionnaires. Pour pallier la dilution inexorable des pouvoirs et des responsabilités, il est alors nécessaire de mettre en place une administration cohérente de chaque entité.
Chacune de ces entités va ainsi fonctionner avec ses propres services : direction locale, ressources humaines, comptabilité, département juridique… Une hiérarchie calquée sur celle de la direction générale dans le pays où est installé le siège social du groupe, chacune possédant ses propres caractéristiques et ses propres normes.
Mais comment administrer une telle entité pluricéphale ? Comment s’assurer que chaque poste de direction reçoive le même niveau d’information, sans avoir besoin d’envoyer des cadres aux quatre coins du monde ? Comment garantie que les prises de décision soient relayées efficacement du centre jusqu’aux structures périphériques ? Cette gouvernance globale est rendue possible par le principe du pilotage juridique.
Structurer son pilotage juridique à l’aide d’un logiciel
La complexité de la structure d’une entreprise internationalisée nécessite la mise en place d’un pilotage juridique efficient. Celui-ci peut être pris en charge par une solution logicielle, un outil de pilotage juridique qui offre une vue globale des contraintes liées à l’administration de chaque entité. Une telle solution revêt de nombreux avantages, parmi lesquels :
- Pouvoir trouver des solutions qui correspondent au périmètre d’action de l’entité concernée, les normes juridiques, financières et fiscales étant différentes d’un pays à l’autre ;
- Obtenir une représentation claire des cadres juridiques des différentes entités, et pouvoir consulter les données depuis n’importe où, à n’importe quel moment, en temps réel (un avantage fondamental lorsqu’il s’agit de gagner du temps) ;
- Au-delà du seul pilotage juridique, la possibilité d’administrer tous les départements avec un pilotage des informations financières, de la production des inventaires comptables, de la gestion des ressources humaines, etc.
Ainsi, un outil de pilotage juridique s’adapte à tous les départements et tous les besoins de gestion de l’entreprise.
Un outil qui convient à tous
Contrairement à ce qu’on serait tenté de penser de prime abord, le pilotage juridique par le biais d’une solution logicielle convient à toutes les structures, quelle que soit leur taille ou leur zone d’influence. Les grands groupes semblent a priori les plus concernés, eu égard au nombre de filiales et d’entités diverses qu’ils possèdent à travers le monde, avec toutes les contraintes qu’une telle dispersion implique.
Cependant, il n’en est rien. Les outils d’administration centralisée s’adaptent tout aussi bien à des entreprises d’envergure moindre. C’est vrai des groupes qui possèdent une ou deux succursales seulement à l’étranger ; mais cela vaut également pour des PME dont l’implantation ne dépasse par les frontières de l’Hexagone, et qui souhaitent élargir la couverture de leur territoire en s’assurant une gestion la plus efficace possible.
Dans ces conditions, un outil de pilotage juridique ne déploie par les mêmes fonctionnalités que celles qui sont nécessaires au fonctionnement d’un groupe international. Ce qui ne l’empêche nullement de favoriser les performances domestiques de l’entreprise, tant au niveau juridique et fiscale que comptable. En somme, chacun y trouve son compte.
La mise en place d’une telle solution ouvre dès lors les portes de l’internationalisation. Celle-ci n’est possible, pour une structure grande ou petite, qu’avec l’adoption d’un outil permettant un pilotage juridique centralisé pour une meilleure performance des entités qui orbitent au sein d’un même groupe, et in fine pour atteindre un rendement plus important.